J'ai été contente de voir Hélène. Et aussi la librairie. Jamais cet endroit ne m'avait paru aussi paisible. Ici contrairement à la vraie vie, les hurlements, les pleurs, les rires, les cris, les joies, les drames étaient prisonniers des pages. Le tumulte ne s'offrait qu'à celui qui les ouvrait. Moi, j'avais quitté le domaine de la fiction.