C’est bien connu, l’école est l’endroit le plus propice pour oublier ses problèmes ou ses histoires de coeur foireuses. Nous nous farcissons la tête avec des équations, des cours sur tout et n’importe quoi et des problèmes de maths et cela nous fait l’effet d’un antalgique, même si cela peut sembler bizarre.
Les gens mentent tout le temps et dans n’importe quelles circonstances mais leurs motivations sont toujours les mêmes : soit ils veulent se dédouaner quand ils se trouvent dans une posture embarrassante; soit ils veulent protéger une personne qui leur est chère.
Une mère est la personne la plus chère que nous ayons au monde. Ainsi, même si la mienne m’empoisonne l’existence à tel point que j’ai l’impression de la détester, au fond de moi, je l’aime. Il y a un lien indéfectible entre nous malgré toutes ces disputes et les piques que nous nous envoyons.
C’est en nous trompant que nous apprenons. Et nos erreurs nous aident à distinguer le bien du mal.
Tu n’es pas un chat. Tu n’as pas huit vies en réserve. C’est pourquoi il te faut vivre de sorte qu’on se souvienne de toi pendant longtemps après ta mort.
Nous sommes épris de liberté.
Nous nous fuyons nous-mêmes.
Nous recherchons l’espoir et la félicité.
Nous sommes heureux et libre.
L’amour, c’est quand tu penses toujours à la même personne et que tu voudrais la serrer dans tes bras à chaque seconde, sans jamais la lâcher. Tu es heureux juste parce qu’elle est à tes côtés et, lorsque tu tiens sa main, tu sens quelque chose fondre en toi. Tu serais prêt à tout pour la personne que tu aimes, jusqu’à mourir, même.
Chaque jour qui passe m’apporte une nouvelle raison de me suicider. La mort n’est sans doute pas la meilleure des solutions mais, dans mon cas, c’est celle qui s’impose à moi.
L’amour n’apporte que de la douleur et il agit comme une drogue : d’abord tu te sens bien, et après tu souffres du manque et tu meurs.