Malheureusement, ils ( les ordinateurs ) étaient numéro un sur la liste noire de ses parents. Sans espoir. S'il économisait sur son argent de poche pour s'en acheter un, à raison de un euro par semaine, Georges avait calculé qu'il lui faudrait environ huit ans pour s'offrir un PC d'occasion pourri. En attendant, il devait se contenter des vieilles bécanes du collège, aux écrans couverts d'empreintes digitales, et qui plantaient toutes les cinq minutes.