En tant qu'admirateur inconditionnel, dans mon enfance, d'Andy le panda et ex-propriétaire d'un jouet en peluche gagné à une kermesse locale un jour où, par chance, j'avais renversé toutes les bouteilles d'un seul coup, je ne me tins plus de joie lorsque les premiers signes de notre dégel avec la Chine se concrétisèrent, au-delà du ping-pong, par l'envoi de deux pandas au zoo de Washington.