On dirait qu’il ne suffit pas (pensa-t-il avec une amertume qui n’était peut-être pas injustifiée) que la vie soit comme une planche étroite jetée au-dessus d’un gouffre sans fond et sur laquelle nous devons marcher les yeux bandés. C’est déjà assez dur, mais il y a pis. Parfois, on vous pousse.