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William Olivier Desmond (Traducteur)
EAN : 9782253151586
572 pages
Le Livre de Poche (10/05/2006)
3.71/5   549 notes
Résumé :
Minuit 3... Grand dîner dans les buissons de la bibliothèque municipale. Marmots à la broche...Sam Peebles est en plein cauchemar. Il n'a pas rendu ses livres à temps et le biblioflic qui le poursuit a tantôt des yeux de loup, tantôt la trompe d'un insecte. Une horrible chose qui s'allonge démesurément pour aspirer sa vie, ses peurs. Ah ! le délicieux fumet des terreurs de l'enfance !

Minuit 4... clic et clac ! Grésillement ! La photo s'extirpe du Sol... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
3,71

sur 549 notes
"Minuit 2" fut une relative déception face à mes attentes. Allez savoir pourquoi, ces deux tomes (qui ne sont en langue anglophone qu'une seule et même oeuvre: "Four Past Midnight") m'ont toujours énormément intrigué. C'était donc tout excité que j'avais commencé les deux premières novellas, avec un immense sentiment de gâchis à la sortie. Je dois donc l'avouer, ce n'était pas avec une grande motivation que j'ai attaqué "Le Policier des Bibliothèques". Stephen King m'a rappelé, pour mon grand plaisir, que son talent ne s'éloigne jamais longtemps lorsque c'est le cas.

Ainsi, la première novella est plutôt réussie. Ce n'est pas un chef-d'oeuvre, mais c'est loin des Langoliers du premier tome. On assiste donc à une sorte d'histoire de fantômes qui n'en est pas vraiment une, s'enracinant dans les peurs de l'enfance, ces peurs que l'on ne peut que cacher une fois adulte, et qui peuvent resurgir, lorsqu'on stimule tout ce système intelligemment. Tout ce que l'on peut dire, c'est que Stephen King sait y faire, et nous offre ici quelques scènes glaçantes. Une fois n'est pas coutume, le personnage principal, Sam, est très attachant et on se met bien aisément à sa place. En fait, on pourrait même dire qu'il y a un double-personnage principal, avec des évènements les liant assez intimement, puisqu'un récit dans le récit apparait bien vite et monopolise au moins un tiers de la novella, si ce n'est plus. Et c'est une très bonne idée, car le passé de Dirty Dave est clairement ce qui donne ce petit goût pimenté à cette première partie de "Minuit 4". C'est très joliment raconté, avec une montée en puissance palpable, une malaise insidieux grandissant petit à petit pour au final submerger le lecteur, et lui donner un grand coup de pied dans le cul pour qu'il revienne au présent, avec Sam, qui lui aussi est dans de beaux draps.
Je pense que ce n'est même pas la peine de préciser, pour ceux qui l'ont lu, le choc d'une violence inouïe intervenant vers la fin du récit (lors des réminiscences de Sam). King aborde ici un sujet très sérieux, qui fait souffler brutalement un vent glacial sur l'histoire. Mis à part l'oeuvre de Lindqvist, "Let me in", c'est la première fois que je me confrontais à ce type de sujets vraiment difficile à aborder pour un auteur. Et on peut dire que Stephen King n'y va pas de main morte, offrant une scène difficilement soutenable de plusieurs pages qui, il faut l'avouer, choque. Effectivement, l'atmosphère, sans avoir été "légère" avant, devient ici carrément oppressante. Enfin bon, c'est réussi.
Ce qui est nettement moins réussi, en revanche, c'est l'impression d'histoire de seconde zone qui ressort ici. Cela peut paraitre contradictoire, étant donné que je viens de dire que King aborde ici des thèmes graves. Mais non, et je vais m'expliquer. C'est l'impression globale qui me fait dire cela: l'histoire est effectivement beaucoup trop simple pour en faire un roman, et pourtant, on lit ici un truc de 300 pages. Alors c'est une novella, oui, mais je ne peux m'enlever l'idée que King a moins fignolé son travail ici. L'histoire n'a pas vraiment d'ampleur, le lecteur n'est pas transcendé, les divers dénouements sont prévisibles et tombent un peu à plat, le lecteur ayant une réaction à peu de choses semblables devant un nanar de TF6. C'est nettement moins marqué que pour le premier tome, mais ça se ressent quand même. le meilleur exemple de cet aspect "téléfilm de TF6", c'est par exemple la relation entre Sarah et Sam, évoluant absurdement au fil du récit. Là faut pas pousser, ça puait la merde cette idée. Mais bon.
Il n'empêche que "Le Policier des bibliothèques" est une novella plutôt agréable à dire, et qui imprimera au moins au lecteur une scène cruciale et inattendue, insoutenable.

La deuxième novella, "Le Molosse surgi du Soleil" est, je trouve, inférieure (hum, euphémisme, hum). Si le côté série B est ici moins présent, on assiste à un récit nettement moins attirant. J'ai vraiment eu l'impression d'être devant une histoire qui aurait grandement gagné à être traduite en nouvelle, et non en novella. Vraiment, plus de deux cent pages sont ici noircies, alors qu'on s'en serait très bien tiré avec une cinquantaine.
Les personnages sont toujours extrêmement sympathiques, attirants, avec une mention spéciale pour Pop Merrill, se dévoilant comme une jolie création de King, et je me demande quelle est son implication dans le gros roman qu'est "Bazaar" car j'aimerais beaucoup le voir intervenir de nouveau dans un récit de Castle Rock. Ce qui cloche, vraiment, se cantonne à l'histoire qui n'est tout de même pas vraiment brillante. J'ai lu ici et là que certains lecteurs avaient eu l'impression de retourner en enfance, devant un bon "Chair de Poule". Si je ne peux nier une certaine ressemblance avec ces lointaines lectures, si plaisantes car si angoissantes, je trouve néanmoins le travail de transposition des peurs assez frêle. On a tous très bien compris ce que King a tenté de faire ici: une histoire d'épouvante classique, digne de celles de nos enfances, mais transposée à l'âge adulte et ses réflexions. En d'autres termes, il y a ici de nombreux axes d'écritures de King dans beaucoup de ses romans ("Ça" étant l'apogée de son travail sur ce domaine). Mais là, sans déconner, c'est vraiment moyen, pour plusieurs raisons.
La première: ça ne fait pas vraiment peur. Ce chien, de Polaroidville, se mouvant à chaque photo un peu plus vite, doit faire anticiper le pire au lecteur, et cette connaissance de la suite des évènements doit être un moteur à l'angoisse. Mais ce n'est pas le cas ici: on comprend très vite ce qui va se passer, le soufflé retombe, et on assiste à une histoire ennuyante, pourtant servie par une belle écriture, et destinée à finir sans le moindre éclat.
La deuxième raison, et je l'ai déjà soulevée, c'est que c'est beaucoup, beaucoup trop long. J'avais envie de stopper net la lecture à chaque description de photo. On a le droit à vingt descriptions laborieuses (ou un nombre s'en approchant, je n'ai pas compté) tentant désespérément de faire monter la sauce, mais assommant le lecteur de lassitude. oui, on a bien compris qu'à un moment donné, ce putain de clébard va se mettre sur ses deux papattes arrières et bondir. Sans déconner, Stephen, qu'est-ce que tu nous a fait? Tu nous a pris pour des burnes? Que l'on soit bien d'accord, il y a toujours une grande relation de confiance entre King et ses lecteurs, ce premier s'efforçant d'être subtil, et les derniers d'être à la hauteur. Mais là...

En conclusion, "Minuit 4" est fortement dispensable. Partant d'un bon pied, on s'attend à un diptyque de nouvelles supérieur au précédent. Il n'en est rien, et on se retrouve avec le même schéma que pour "Minuit 2", simplement inversé. Une des deux nouvelles est presque bonne, tandis que l'autre se complait dans une banalité étouffante, décevante venant de Stephen King. On ne retiendra donc aucune de ces novellas, et on préfèrera donc s'orienter vers une forme plus tranchée des écrits de King, ses excellents recueils de nouvelles ou ses romans souvent brillants.
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Recueil de deux courts romans de Stephen King.

Le policier des bibliothèques – Il existe une légende bien connue de tous les enfants américains : s'ils ont du retard pour rendre les livres, le policier des bibliothèques viendra les punir. Quand Sam Peebles emprunte des ouvrages pour terminer un discours professionnel, il ne se doute pas que ses vieilles terreurs d'enfant vont s'incarner sous la forme de la terrible Ardelia Lortz, dont Junction City n'ose pas dire le nom, et s'en prendre à ses amis. Des traumatismes d'enfant refont surface et il faut tout le courage de l'adulte pour vaincre les monstres venus du passé.

Ce n'est clairement pas l'histoire courte/nouvelle de Stephen King la plus renversante que j'aie lue, mais sous l'horreur et la terreur, elle fait la part belle à l'humour et à l'autoréférence, ce qui me plaît toujours quand c'est fait par le roi de l'épouvante, parce que ce n'est pas de l'autosatisfaction, mais une façon de mettre en perspective son oeuvre et de prouver à quel point elle est inscrite dans l'imaginaire collectif et populaire. « Je n'ai jamais entendu un disque de Ozzy Osbourne et n'en ai aucune envie, non plus que de lire les romans de Robert McCammon, Stephen King ou V. C. Andrews. » (p. 35)

Le molosse surgi du soleil – Kevin est le plus heureux des gamins quand il reçoit un polaroïd pour son anniversaire. Mais l'appareil prend toujours la même photo, ou presque. « Ce qui clochait avec cette photo était l'impression qu'elle donnait de clocher. » (p.25) Sur chaque cliché, il y a un chien énorme qui semble se déplacer. Kevin confie l'appareil à Pop Merrill, sinistre citoyen de Castle Rock dont la curiosité malsaine n'a d'égale que la cupidité. Il faudrait détruire le polaroïd, mais il y a des forces qui semblent l'empêcher. « Ce truc prend des photos d'un autre monde. » (p. 338) Cours, Kevin, cet autre monde en a après toi !

Impossible de ne pas penser à Rose Madder et à son tableau dont l'image se change en vision d'horreur. Ici, à nouveau, l'image est vivante et dangereuse et bien décidée à attaquer le jeune propriétaire de l'appareil photo. Cette histoire a le mérite d'être brève : sans être inintéressante, elle n'est pas renversante. Une fois encore, je me suis surtout délectée de l'ambiance particulière propre aux romans de Stephen King : que l'intrigue se déroule à Castle Rock annonce toujours du bizarre ou de l'horrifique. Et c'est encore mieux agrémenté de quelques références à Cujo ou à Christine.
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Après avoir lu un numéro spécial de la revue "Bifrost" consacré à l'oeuvre de S. King, j'ai eu envie de relire la novela "Le policier des bibliothèques" (plus relue depuis la sortie initiale de ce recueil).

J'ai retrouvé ce plaisir de lecture de mes 20 ans et me suis laissé emporter par le récit plutôt bien mené (bien que certaines longueurs s'y fassent ressentir de ci-de là).

Le lecteur habitué de l'auteur ne manquera évidemment pas de relever la ressemblance thématique avec le roman "Ça". Pas de redite, ni d'auto-plagiat, mais - à mon sens - un sens consommé de l'exploration du thème de la ville maudite qui cache d'inavouables secrets.
C'est le trauma infantile du personnage principal qui va réveiller les vieux fantômes tapis dans les interstices mentaux de la ville et faire ressurgir un passé fantasmatique et inquiétant. Cela, King sait le faire comme personne !
Le long récit de l'alcoolique (en milieu de novela) qui évoque le passé de la ville et l'abomination qui y vit, est un modèle du genre et vaut à lui seul la lecture de la novela (le meilleur de ce qui fait la réussite de "Ça" et de la nouvelle "1922" y est condensé !).

J'ajouterai que pour avoir lu entretemps, le roman "Nosfera2" du fiston Joe Hill, le lecteur attentif pourra déceler dans ce policier mental des bibliothèques de King, une grosse source d'inspiration, comme si le récit du père avait servi de matrice au récit de Joe Hill, mais plus sous la forme d'une continuité et d'un développement astucieux et intelligent, que d'un simple plagiat éhonté (on y retrouve la bibliothèque municipale comme carrefour et/ou accès à des mondes parallèles, et la description physique du méchant de "Nosfera2" doit notamment beaucoup à celle du policier des bibliothèques).
A vous d'y jeter un oeil : ceux qui n'ont pas encore lu du Joe Hill et qui aiment le S. King du début des années '90 devraient l'adopter ;-)
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Aprés Minuit 2, on découvre Minuit 4, autre recueil composé de deux romans court de King. Cependant, aucun des deux n'a été adapté au cinéma cette fois ! Est-ce à dire qu'ils seraient moins bon ?



01 : le policier des bibliothéques



Sam Peebles doit remplacer le conférencier du jour du Rotary Club. S'il est assez fier de son texte écrit en urgence, il suit les conseils de sa secrétaire et va chercher deux livres à la bibliothéque pour l'améliorer. Ardelia Lortz, la bibliothécaire, lui rappelle bien l'obligation de les rendre dans les délais... sinon le policier des bibliothéques viendra les chercher...



Tiré d'une vraie légendes urbaines américaines, cette histoire parvient, avec les ressorts habituels de l'auteur, à créer un véritable sentiment d'angoisse. La question de savoir qui est cette Ardelia est présent dans tous le livre. de plus, celui-ci revient sur les terreurs de l'enfance, mais aussi les traumatismes que l'on peu subir. Ainsi, certains passages de l'histoire sont réellement durs à lire de par la violence qui s'en dégage. mais cela donne aussi sa force à un récit particulièrement réussit, et pourtant trés méconnu aujourd'hui !





02 - le molosse surgi du soleil



Et voici une autre histoire assez peu connu. Kevin fête ses 15 ans et son pére lui offre un appreil photo. Un Polaroïd Soleil 660. Mais lorsqu'il prend une photo, Kevin constate que celle qui sort n'a rien à voir avec ce qu'il a pris. Un représente un énorme chien. Intrigué, il en prend d'autre et se rend compte que ce n'est pas tout à fait la même mais cela semble représenter un danger. Il va alors faire appel à un brocanteur peu scrupuleux pour l'aider, ainsi qu'à son pére...



Cette histoire, de 250 pages environs, tient parfaitement sur sa durée, se montrant intéressante et rythmée. Elle manque un peu de surprise mais fonctionne parfaitement comme divertissement. Et surtout, elle ne s'embarrasse pas de fioriture. King le dit lui même, ce récit lui a surtout servi à explorer et reparler de personnages de Castle Rock, mais il le fait bien. Alors si cela manque un peu de profondeur, ça reste trés agréable à lire !





Et voici au final un recueil tout à fait sympathique, loin d'être un faire valoir avec deux histoires sans intérêt. J'ai même pris plaisir à les découvrir et je les conseille sans probléme !
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« La peur, je sais ce que c'est. Une émotion qui bloque et interdit le changement. »

Et de peur, il est bien question dans les deux nouvelles de ce recueil. J'ai plusieurs fois frissonné, emportée par le suspense et les intrigues toujours bien ficelées.

J'ai dévoré celle intitulée « le policier des bibliothèques » qui, en ce qui me concerne, arrive en tête des quatre nouvelles qui constituent les recueils Minuit 2 et Minuit 4. On y retrouve toute l'angoisse du personnage principal poursuivi dans le présent par le pire cauchemar de son passé, par un « ça » qui se nourrit de cette peur. Un vrai petit bijou de suspense comme je les aime !

« le molosse du Soleil » est également une nouvelle très intéressante à lire, bien qu'elle m'ait moins tenue en haleine que la précédente car on comprend vite comment l'intrigue va s'articuler. J'y ai goûté un brin de nostalgie : toute gamine, j'ai eu l'occasion d'utiliser un Polaroïd Autofocus 660 (appelé « Soleil » dans la nouvelle) et la description de l'appareil et du bruit de la photo qui en sort, ont fait remonter un tas de souvenirs, plus heureux que ceux du personnage principal avec son propre appareil photo, heureusement !

Et donc, je suis vraiment contente d'avoir fait exhumer Minuit 2 et Minuit 4 de la réserve où les livres étaient sagement rangés. C'était vraiment une découverte intéressante. Sur ce, je vais m'empresser d'aller les rapporter avant que ma bibliothécaire ne m'envoie le Policier des Bibliothèques !
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Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
On dirait qu’il ne suffit pas (pensa-t-il avec une amertume qui n’était peut-être pas injustifiée) que la vie soit comme une planche étroite jetée au-dessus d’un gouffre sans fond et sur laquelle nous devons marcher les yeux bandés. C’est déjà assez dur, mais il y a pis. Parfois, on vous pousse.
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On ne fixe jamais de rendez-vous à Dame Chance ; elle a l’art de poser des lapins au moment où on a le plus besoin d’elle. Mais si la fantaisie lui prend de se montrer d’elle-même.... eh bien, il est judicieux de laisser tomber ce qu’on est en train de faire, quoi que ce soit, et de l’emmener dîner aux chandelles et au champagne - de la traiter du mieux qu’on peut. Cette salope s’allonge toujours si on la traite convenablement.
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” Je veux “, dit Sam. Il n’avait fait que murmurer les mots, mais l’acoustique du hall devait être excellente, car ils furent amplifiés en un grommellement grognon qui le fit se recroqueviller sur place; on aurait dit que sa voix avait littéralement rebondi contre le plafond élevé. Il eut à cet instant-là l’impression d’être de nouveau en cours élémentaire et sur le point de recevoir une réprimande de la part de Mme Glasters, pour avoir fait du tapage au mauvais moment. Il regarda autour de lui, mal à l’aise, s’attendant presque qu’un bibliothécaire grincheux arrivât à grands pas de la salle principale pour voir qui avait osé profaner le sacro-saint silence.
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J'ai pensé que vous pourriez me conseiller sur ce que je dois faire de cet appareil, voilà ce que je voulais dire, acheva-t-il.

_ Détruisez-le, répliqua immédiatement Eleusippus.

_ J'emploierai même la dynamite, ajouta Meleusippus.

_ Commencez par l'acide, avant la dynamite.
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Eh bien, fit Kévin, un peu sur la défensive, je dis simplement que nous devrions peut-être y réfléchir. Ce que je veux dire... ce n'est pas un défaut ordinaire, hein? pas comme si les photos sortaient surexposées... ou comme si elles restaient blanches... ce serait autre chose. Mais un truc comme ça, comment est-ce possible? La même photo, encore et encore! Mais regardez! On est à l'extérieur, alors qu'on les a toutes prises à l'intérieur!
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