Mais bien entendu, ce n’était pas Annie qui était Shéhérazade : c’était lui. Et si ce qu’il écrivait était assez bien, si elle ne pouvait pas envisager l’idée de le tuer tant qu’elle n’aurait pas découvert comment l’histoire finissait, quelle que soit la force avec laquelle ses instincts animaux réclamaient son sang…
N’avait-il pas une chance ?