Si je lui donne un nom, ça deviendra ma chienne, pensa Lloyd, mais il devinait que c’était déjà le cas. Depuis ce premier coup de langue hésitant. Tout comme Marian était devenue sa femme depuis leur premier baiser. Encore une comparaison stupide, mais pouvait-on contrôler le cheminement de son esprit ? Pas plus qu’on ne pouvait contrôler ses rêves.