Il était bâti comme un gnou, le crâne aussi lisse et brillant qu'une boule d'attelage chromée, et un nez qui ressemblait à un morceau de charbon rose biscornu. Il partageait avec Beaufort le même teint rougeaud et la même beauté néanderthalienne. Un front lourd, mais qui fait sérieux quand on est jeune. Aux Brokamp plus âgés, il donnait seulement l'air cruel, un côté gardien de camp de concentration.