Autre chose a changé : ma réaction aux erreurs. Auparavant, c’était "la réaction en chaîne" : une seule erreur rebondissait sur ce que je faisais après et ainsi de suite et tout se dégradait. Maintenant, quand je fais une erreur, je suis plus pragmatique. Une petite voix intérieure me dit : "Bon, d’accord, et maintenant que fait-on ?" -comme ça, en acceptant, sans juger. L’erreur se trouve derrière moi, et je continue mon chemin. Je peux facilement imaginer ce que je pourrais faire, la prochaine fois."
Si une personne est vraiment en bonne santé, elle peut être en mesure de gérer ses tensions, sa nervosité, sa colère et un certain déséquilibre à l’aide de différents moyens. Mais, lorsqu’il s’agit de se remettre d’une maladie grave, il est nécessaire de faire le point sur sa vie de manière à ce que le corps dispose de ressources maximales pour se guérir.