Ce monde n’est qu’histoires modelées selon les lubies de dieux. Les dieux doivent aimer la tragédie. Ou ne pas nous aimer, nous. Ou bien les deux. Bien sûr, ce n’est peut-être qu’une triste farce jouée aux mortels par les dieux et les Moires. Nés de chaos, voués à Hadès, nous arpentons un temps la scène. Puis le destin nous piétine. Une farce donc, qui se termine toujours en désastre sanglant.