Après avoir trouvé ma direction je vivais comme un dynamiteur irresponsable qui se sent coupable mais ne sait pas comment se débarrasser de sa culpabilité ; j’étais comme une bombe vivante prête à éclater d’un instant à l’autre et dont j’ignorais les effets et l’heure d’explosion (...) dynamiteur désireux de rester fidèle à son petit chagrin. (p. 305)