A l’époque, il était maigre comme un clou, et elle avait pris l’habitude de le surnommer « l’Asperge ».
Mais Zach n’était plus une asperge. Comme le lui avait fait remarquer sa mère, il était enfin sorti de sa chrysalide. A la lueur des bougies, il avait un côté magique : un vrai prince charmant au sourire de gamin.