D’abord c’est l’acte,
puis vient le verbe.
L’acte puis le verbe,
dans cet ordre-là.
Mais pour Garance ce fut
le silence après l’acte,
et le verbe ne vint pas.
Tout porte à croire
qu’il a précédé l’acte.
Il faut croire que le vrai poison,
c’était le verbe :
celui des mots de sa mère.