Je veux écrire parce que je ressens le besoin d’exceller dans un moyen d’expression et de traduction de la vie. Je ne peux me contenter de ce travail colossal que représente le fait de simplement vivre. Oh non, il faut que j’organise la vie en sonnets et sextines, et procure un réflecteur verbal à l’ampoule de soixante watts que j’ai dans la tête. L’amour est une illusion, mais j’y succomberais volontiers si je pouvais y croire.