« Pour s’intégrer chez les Cantelauze , il fallait avoir l’amour de la montagne, la passion pour ce volcan qui façonnait les hommes à son image , austère et sublime à la fois.
Or Ariane était une pure citadine qui reculait avec un cri d’oiseau effarouché en voyant un troupeau de vaches caracolant au sortir de l’étable.
Si elle appréciait la beauté des paysages, les odeurs si particulières de ce pays, de bouse, de terre nourricière , d’herbes sauvages et de feu de bois, la laissaient indifférente, l’écœuraient même parfois » .....