p.66 "Quand Pierre est mort, il n'y a eu pour moi aucune surprise, donc aucune déception. Il n'y a eu pour moi plus qu'à gérer la peine de la séparation, bien réelle celle-là, mais à laquelle je me préparais depuis longtemps. Si bien qu'en fait, le travail de deuil avait commencé bien avant qu'il ne meure."