Citation de levri
— Oh bon sang, marmonna Ryan au-dessus de moi.
J’ouvris les yeux et ma vue était un peu brouillée sur les côtés. Mon monde fut ensuite rempli des plus beaux yeux verts à avoir jamais existé. Une mèche de cheveux pendait sur son front et je sus que j’avais dû être bien secoué par ma chute, puisque je pensais sérieusement à tendre la main vers lui et à écarter cette mèche. Je réussis à reprendre le contrôle de mes facultés juste à temps pour empêcher ma main de bouger, mais cette action désespérée concentra tout mon cerveau sur mon bras, sans s’occuper de ma bouche. C’était la seule explication au fait que je dise d’une voix chuchotée :
— Tu es bien trop mignon pour exister dans ce monde avec nous, simples mortels.
Je réussis d’une façon ou d’une autre à me retenir de l’appeler Chevalier au Visage Exquis. Ce n’était pas passé loin.
Et il sourit. Comme si je l’avais amusé. Ses dents blanches n’étaient qu’à quelques centimètres de mon visage et les coins de ses yeux se plissèrent avec son air si sympathique que j’eus envie d’écrire des poèmes sur tous les traits de son visage pour qu’il continue de me sourire pour le reste de sa vie. Les bardes chanteraient ses louanges encore des siècles plus tard.
J’ouvris les yeux et ma vue était un peu brouillée sur les côtés. Mon monde fut ensuite rempli des plus beaux yeux verts à avoir jamais existé. Une mèche de cheveux pendait sur son front et je sus que j’avais dû être bien secoué par ma chute, puisque je pensais sérieusement à tendre la main vers lui et à écarter cette mèche. Je réussis à reprendre le contrôle de mes facultés juste à temps pour empêcher ma main de bouger, mais cette action désespérée concentra tout mon cerveau sur mon bras, sans s’occuper de ma bouche. C’était la seule explication au fait que je dise d’une voix chuchotée :
— Tu es bien trop mignon pour exister dans ce monde avec nous, simples mortels.
Je réussis d’une façon ou d’une autre à me retenir de l’appeler Chevalier au Visage Exquis. Ce n’était pas passé loin.
Et il sourit. Comme si je l’avais amusé. Ses dents blanches n’étaient qu’à quelques centimètres de mon visage et les coins de ses yeux se plissèrent avec son air si sympathique que j’eus envie d’écrire des poèmes sur tous les traits de son visage pour qu’il continue de me sourire pour le reste de sa vie. Les bardes chanteraient ses louanges encore des siècles plus tard.