Parce qu’elles avaient appris à piloter avant la guerre, les huit jeunes femmes représentaient une élite au sein d’une élite, mais au même titre que leurs homologues masculins, jamais elles ne furent officiellement rattachées à la RAF, et c’est la BOAC qui finança leurs actions au début du conflit. D’autres aviatrices vinrent grossir leurs rangs, et l’on détourna de nouveau les trois lettres ATA.