Citation de collectifpolar
— Oh, Gigi ! s’exclama Harrow, d’un ton apitoyé. Alors qu’un jour sur deux, j’oublie tout bonnement que tu existes.
Elles se dévisagèrent. Un sourire insolent se dessina sur les lèvres de Gideon, qui ne fit rien pour le dissimuler, ce qui rendit le visage d’Harrowhark encore plus sombre et irascible.
— Tu m’as mise dans une impasse, dit-elle, semblant malgré elle stupéfaite. Ta navette sera là dans cinq minutes. J’imagine que tu as tous les documents nécessaires, et qu’ils ont l’air en règle. Un acte de violence injustifié serait un abus de pouvoir.
En effet, je ne peux rien faire.
Gideon ne répondit pas. Harrow poursuivit :
— Le rassemblement est bien réel. La Neuvième a des affaires importantes à régler. Tu es sûre que tu ne peux pas consacrer quelques minutes à ta Maison, pour ton dernier appel ?
— Sûre et certaine, dit Gideon.
— Même si j’en appelle à ton profond sens du devoir ?
— Nope.
Elles se dévisagèrent. Un sourire insolent se dessina sur les lèvres de Gideon, qui ne fit rien pour le dissimuler, ce qui rendit le visage d’Harrowhark encore plus sombre et irascible.
— Tu m’as mise dans une impasse, dit-elle, semblant malgré elle stupéfaite. Ta navette sera là dans cinq minutes. J’imagine que tu as tous les documents nécessaires, et qu’ils ont l’air en règle. Un acte de violence injustifié serait un abus de pouvoir.
En effet, je ne peux rien faire.
Gideon ne répondit pas. Harrow poursuivit :
— Le rassemblement est bien réel. La Neuvième a des affaires importantes à régler. Tu es sûre que tu ne peux pas consacrer quelques minutes à ta Maison, pour ton dernier appel ?
— Sûre et certaine, dit Gideon.
— Même si j’en appelle à ton profond sens du devoir ?
— Nope.
