Nous [les inspecteurs de police] ne demandons jamais si les victimes ont souffert. A moins qu'elles n'aient été torturées, nous n'avons pas à le savoir : s'investir émotionnellement ne sert à rien, sinon à détruire notre objectivité et à nous donner des cauchemars. De toute façon, nous affirmons toujours à la famille que la mort a été instantanée. (p. 85)