Certaines filles ne quittaient jamais les couvents (...), lugubres établissements qui, propres à l'Irlande victorienne, subsistèrent jusqu'au milieu du XXe siècle. Des religieuses impitoyables les réduisaient en esclavage pour les punir d'avoir été engrossées, violées, orphelines ou trop jolies, jusqu'à ce qu'elles finissent enfouies dans des tombes anonymes. (p. 263)