« On est coincé en ce moment au creux d’un abîme. Le courant s’écoule dans toute sa magnificence en emportant l’ensemble de ce qui s’est déposé au fond de lui et qui va être emporté. Il existe une tombe pour ça. Et si tout ne se déroule pas trop mal pour nous, on pourra y déposer notre fardeau et être libéré. » (p. 95)