Je cherchais à comprendre pourquoi tous ces événements s’étaient déroulés comme ils s’étaient déroulés. Je me suis demandé si cet été passé avec maman faisait partie d’un plan plus vaste et, si oui, lequel. J’avais du mal à croire que ce fût un plan de Dieu – c’est-à-dire du Dieu polonais, je n’en connaissais pas d’autre –, le même qui avait perdu Mika comme on perd une paire de gants, qui avait rendu grand-mère aveugle et qui avait affecté à maman un cancer enragé. Mais, d’un autre côté, je crois que cela a été notre été.