Tatsuya Seki

Aux adeptes du Dr. House, je présente son homologue japonais : le médecin-urgentiste, Jûzaburô Kujô. Presque aussi prétentieux et arrogant que le premier, sûr de lui et de ses capacités, amateur de revues pornos et séducteur (oh, oui...il est beau !...en particulier quand il se met en colère ^^). Mais le Dr. Kujô est aussi ambidextre et jure par sa bonne étoile : la divinité égyptienne Horus, dont il porte le symbole de protection et de préservation, l'oeil Oudjat, autour de son cou.

Ainsi que House, il n'hésite (surtout) pas à contourner ou à se moquer des règlements (souvent absurdes) de l'hôpital pour sauver des vies... et comme dans la série télévisée américaine, on a droit à des épisodes, euh, non... des chapitres qui présentent chaque fois un autre "cas" médical.



Ici ce sont des opérations exécutés dans l'urgence. le mangaka Tatsuya Seki (dont je n'ai trouvé aucun détail biographique, ni photo, sur le Net) sait néanmoins rester dans la sobriété et nous épargne l'exhibition abusive d'organes. Les "cas" restent plus ou moins dans l'anonymat et sont plutôt mis en avant le savoir-faire et les mains "magiques" du Dr. Kujô (un peu exagérés, à mon avis), ainsi que les relations avec ses internes et assistants qu'il pousse à se surpasser.



On voit arriver, à chaque début d'une autre histoire, le patient-victime ensanglanté sur un brancard, entouré de l'équipe soignante qui se lance dans une terminologie médicale constituée de babélismes à laquelle le simple mortel n'y comprend que dalle. Mais on nous fournit, entre les vignettes de ce manga, des explications appropriées...pourvu qu'on se munit d'une loupe...



...dont on peut se passer...pour admirer les dessins qui sont d'une grande perfection avec des lignes nettes (pour ne pas dire nobles) contenus dans les cases qui ne sont pas surchargées. Les visages restent très reconnaissables et le mangaka a su faire un bien joli travail d'ombrage sur la personne du Dr. Kujô (particulièrement mis en valeur dans les quelques doubles pleine-pages)... qui nous considère avec son regard pénétrant et nous rappelle donc... Eh, oui !



(3,6/5)



(Les deux autres tomes de cette trilogie sont déjà parus, fin 2014)

La Main d'Horus est un bon choix de la part de Komikku. La lecture est très fluide et les dessins d'un grand réalisme. Les chapitres s'enchainent sans qu'on s'en rende compte [...]. De l'adrénaline, un peu d'humour, un savant mélange qui vous rendrait presque addict.
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« Moi, la seule chose que je respecte, ce n’est pas le règlement…mais la vie ! »

Jûzaburô Kujô est chirurgien. Ses compétences précises et solides en terme de médecine lui ont valu le surnom de « la main d’Horus », cette divinité égyptienne qui avait le don de ressusciter les morts. Toujours avec méthode et rigueur, il opère minutieusement les patients dans un état critique.

Ce premier tome nous fait entrer dans le quotidien d’un chirurgien confronté aux pires urgences vitales. Dans ces instants, la concentration et le professionnalisme sont déterminants. On sympathise vite avec ce chirurgien qui agit en son âme et conscience, au détriment parfois de la loi. Tout ce qui lui importe, c’est de sauver des vies. Les dessins parviennent à nous faire sentir les situations d’urgence, la tension qui est palpable à travers les réactions des personnages. Cette série comportera 3 tomes.

Approche classique des mangas médicaux, mais tout de même un manque de profondeur des personnage pourtant charismatique pour certain.

Approche classique des mangas médicaux, mais tout de même un manque de profondeur des personnage pourtant charismatique pour certain.

Approche classique des mangas médicaux, mais tout de même un manque de profondeur des personnage pourtant charismatique pour certain.

Une série pour les aficionados du P.S.G. où ils seront heureux de retrouver leurs héros dans une aventure étonnante dans l'univers football.




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C’est dynamique, c’est bien dessiné, on accroche facilement. Reste à savoir si ça ne sera toujours "que ça" ou si vont venir se greffer des petites histoires dans l’histoire. A suivre, donc. Une bonne première impression à confirmer.
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