Les hommes ! Ils vivent dans un monde où l'herbe continue d'être verte, où le soleil se lève tous les jours, où les fleurs se transforment en fruits, et qu'est-ce qui les impressionne ? Des statues qui pleurent. Et de l'eau qui se change en vin ! [...] Comme si la transformation du soleil en vin par l'entremise de vignes, de raisins, de temps et d'enzymes n'était pas mille fois plus impressionnante, surtout qu'elle se répétait sans cesse...