"Et on l'a condamné à mort pour avoir traité le dernier empereur de ... de ... C'était quoi, au fait ?
Bah, il le méritait bien. Il me refusait l'argent nécessaire à l'entretien de la Bibliothèque. Tous les livres tombaient en poussière. [...] Il m'a répondu qu'on n'avait pas besoin d'un tas de vieux bouquins, qu'on savait tout ce qu'il y avait à savoir. J'essayais simplement de lui faire comprendre qu'une civilisation a besoin de livres si les échanges d'opinions doivent continuer à être raisonnés et étayés par les faits."