Ainsi, le plus souvent, chaque élève étudiait seul. Si, au bout du compte, l'un d'eux n'avait pas compris quelque chose, il allait interroger la maîtresse ou c'était elle qui venait lui expliquer jusqu'à ce qu'il comprenne. Elle lui donnait alors des exemples à reproduire et l'enfant recommençait à travailler par lui-même. Il s'agissait là de l'étude au vrai sens du terme. Le risque de rester assis à révâsser tandis que la maîtresse parlait ou expliquait quelque chose était pour ainsi dire inexistant.