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Citations de Théo Klein (8)


S'affrontent, aussi, les «Faucons »et les «Colombes», souvent victimes d'une classification sommaire et abusive, et qui disputent des modalités d'une paix israélo-arabe dontles prémices—à tous paraissent bien lointaines.
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Les Israéliens n’ont pas rencontré en face d’eux des gens capables de construire.
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D’Ignaz Goldziher, admis à la grande université Al-Azhar du Caire, à Hermann ­Vambéry qui, déguisé en derviche, gagna Samarkande à pied, à la recherche des origines ouzbèkes – supposées de la langue hongroise, les savants juifs des XIXe et XXe siècles eurent un rapport privilégié avec l’Orient.
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Le « syndrome du ghetto » empêche les Israéliens de considérer leurs voisins en toute sérénité.
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Les sites isolés d'Auschwitz et de Birkenau sont reconnus aujourd'hui comme les lieux symboliques de la solution finale au nom de laquelle les nazis ont procédé à l'extermination «Shoah» de six millions de Juifs, dont un million et demi d'enfants, seulement parce qu'ils étaient Juifs.

Ils sont morts dans l'abandon et l'indifférence du monde.

Cette déclaration intitulée «Souiens-toi» (en Hébreu Zakhor) clôturait le 22 juillet 1986 une première rencontre à Genève entre une délégation catholique et une délégation juive, et fut le point de départ d'une difficile et délicate négociation au sujet du transfert du carmel qui avait été installé dans l'enceinte du camp d'Auschwitz par un décret du cardinal Marcharski, archevêque de Cracovie, le 8 décembre 1985.
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Il est temps qu'ils cessent de recréer un ghetto virtuel au sein même de la société à laquelle ils appartiennent.
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Ce pays neuf n'aura jamais connu de répit. Soixante ans de vie, soixante ans de conflits. Les États-Unis furent le premier pays de la communauté des nations, quelques minutes seulement après sa proclamation, à reconnaître le nouveau-né annoncé par David Ben Gourion. Ensuite vint l'URSS. Dans l'intervalle, les États arabes étaient immédiatement entrés en guerre.
Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'idée a surgi d'un État-refuge pour les survivants de la Shoah. La Terre sainte s'impose alors comme une évidence. En février 1947, le gouvernement britannique, impuissant à concilier les revendications contradictoires des communautés juive et arabe, remet à l'ONU le mandat qu'il détenait depuis 1920 sur la Palestine, à charge pour l'organisation de régler la question. Le 29 novembre de la même année, la résolution 181, soumise au vote des Nations unies, prévoit un plan de partage entre un État juif, un État arabe et une zone «sous régime international et particulier». Israël posséderait 55 % du territoire. Quant à la zone internationale, elle comprendrait les Lieux saints, Bethléem et Jérusalem. Les onze nations arabes s'y opposent. Les États-Unis et l'URSS s'y déclarent favorables.
Ce plan de partage est adopté par 33 voix pour, 13 contre et 10 abstentions. Dès le lendemain éclatent des affrontements entre Juifs et Arabes. Puis, aussitôt après l'expiration du mandat britannique et la proclamation de Ben Gourion, les armées d'Egypte, de Jordanie, de Syrie, du Liban et d'Irak envahissent l'État juif. Alliés en théorie, ces pays poursuivent en réalité des objectifs différents, d'où leur désorganisation militaire. Si bien que l'armée israélienne, mieux équipée, mieux organisée, prend le dessus. Non seulement le nouvel État sort victorieux de la première guerre israélo-arabe, mais il augmente de 26 % la superficie de son territoire, occupant désormais plus de 80 % de la Palestine de 1947. Israël a conquis la partie ouest de Jérusalem, devenue capitale. La Cisjordanie est rattachée à la Jordanie et la bande de Gaza revient à l'Egypte.
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J'entends bien que ce monde où je vis, ce corps que j'habite, recèlent les secrets d'une extraordinaire intelligence, insaisissable et pourtant rationnelle puisque chaque fonction est liée, qu'elle détermine et domine d'autres fonctions, le tout évoluant en se transformant dans un développement naturel soumis, cependant, à des aléas de toutes sortes.
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