Ainsi, pour finir avec cet humiliant chapitre, ajouterai-je que je devais plus tard, au cours de ce mémorable dimanche de Pâques 1954, parvenir à réaliser – et ce n’est pas tellement facile – ce qu’en termes nobles je serai contraint de nommer une exonération biliaire par les voies rhinopharyngées : ça ne peut tout de même pas se dire en français.