La conversation suivait son agréable cours, comme l’eau d’un ruisseau l’été dans la fraîcheur d’un sous-bois, bondissant d’un sujet à un autre comme le font deux âmes vierges l’une de l’autre qui se révèlent, quand il fut frappé par une illumination de type Renaissance italienne. Mais oui ! Bien sûr qu’il connaissait ce visage ! Il l’avait vu cent fois. Dans des livres et même une fois pour de vrai à Florence. C’était bien elle. La muse de Sandro Botticelli.