Je comprends alors, les ombres n’ont pas de visage. Elles ne sont que des manifestations désincarnées de vies, des bribes. L’une d’elles essaie de saisir ma jambe gauche quand une lumière blanche aveuglante envahit les environs.
Les ombres sont parties, un doux silence m’accueille. Je pivote sur moi-même, tout le monde a disparu des urgences.