La solitude ne se résumait pas à l’absence physique d’un autre. La plupart du temps, j’étais encore plus seul au milieu des autres. Non, la solitude, c’était de ne pas être en présence d’une autre personne qui ressentait les mêmes émotions que nous sur tout ce qui nous entourait.
Le bruit de mon sang qui tapait contre mes tempes et celui de mon système nerveux.
Mes poings qui se serraient.
Si j’avais pu éplucher leur peau avec un économe, je l’aurais fait.
A l’époque de Shakespeare, il fallait choisir entre être ou ne pas être.
De nos jours, le choix se faisait entre « baiser » ou « se faire baiser ».