Chacun court après sa vie élabore son petit confort comme Robinson sur la gravure : une table pour asseoir sa posture, un buffet pour le peu qu'on possède sur terre, un perroquet en miroir pour être toujours d'accord avec soi-même. Et comme Robinson, on craint depuis toujours que débarque un Vendredi pour bousculer nos habitudes. Le migrant d'aujourd'hui joue ce rôle. L'humanité entière reste à rassembler.