Aux terrasses des cafés, dans les autobus et sur les trottoirs, il s'étonne de voir tous les gens captivés par leur téléphone portable. On dirait qu'une épidémie a frappé l’humanité toute entière. La vision de ces humains isolés en eux-mêmes paraît tellement absurde et comique qu'on se croirait dans un dessin de Sempé. Il remarque aussi qu'il n'y a plus d'enfants qui jouent dans la rue ni dans les squares... Où se cachent-ils en cette fin d'après-midi ensoleillée ?