Moi, le dévoreur, j’ai accédé. Accédé. Marche par marche. Ma trajectoire impose la solitude. Je me dois de n’épargner personne, et, en premier lieu, moi-même. Je ne désire ni le repos ni le bonheur. La joie m’est étrangère. Pour avancer dans ce trajet, j’ai fait le choix du détachement, de l’ascèse, d’éradiquer les plaisirs futiles qui font tourner en boucle les êtres communs.
Tendre vers l’Ekstasis. J’ai lu à ce sujet. Je sais que je parle de déification.