Et vogue la satire
Floraison de grenadiers au soleil couchant
Baudelaire s’invite au voyage lointain
Les notes jazzy dansent au son de la plume
Comme un tourbillon d’apostilles vagabondes
Syntaxe désaxée de beat au front des navires
Qui exhale des airs séditieux dans les cœurs en fuite
Poursuivie par une police conformiste moribonde
Jalouse d’hipsters déjantés, surréalistes dandys défoncés
Emportant dans leurs têtes, gravés sur leurs corps
Les mots ciselés, les pamphlets brûlants de la révolte
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