[U]ne majorité de Français […] n'éprouvait que du dégoût pour la finance. Ils étaient incapables de comprendre que leur quotidien médiocre dépendait de la bonne santé de ce secteur. Ils n'en connaissaient rien d'autre que la caricature véhiculée à dessein par des politiques et des médias engagés dans un concours de fainéantise intellectuelle.