...Là, ils avaient fusionné complètement, leurs deux corps comme une seule rivière de lave, ombres lumineuses, leurs haleines et leurs râles entremêlés dans un seul souffle, l'odeur ambrée de leur étreinte, la fragrance de la chair qui appelait la chair, encore et encore...L'abandon et l'emprise, la mort et la vie...Toutes les forces du cosmos étaient dans leurs hanches...Un dieu et une déesse, à des années-lumière au-dessus de la voûte céleste, copulant dans l'espace infini. Extase suprême..." (P. 105).