Place Robert-Desnos
(…) une vile escroquerie. 2 fois trahi par la société, Desnos fut dénoncé comme juif en 1943, puis déporté comme écrivain dans des coins déshérités de la capitale, que son nom est chargé de poétiser. L’imposition de noms lyriques sur des lieux horribles est un truc éculé.