Au comble de la solitude, Phyllis restait pourtant sereine. L’homme qui avait demandé sa main était à plus d’un titre un parti avantageux pour elle ; son père voyait sa demande en mariage du meilleur œil ; malgré tout, Phyllis trouvait à cet abandon quelque chose de fâcheux, sinon de douloureux.
Le hussard mélancolique de la légion germanique
Chapitre I