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Critiques de Thomas Kryzaniac (11)
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Vivarium

Je remercie tout d'abord l'équipe de Babelio et les éditions L'ÂGE D'HOMME pour la découverte de ce roman, particulier mais intéressant, pour lequel je reste néanmoins mitigée.



Il m'est en effet difficile d'émettre un avis pertinent sur ce livre. Si je ne peux nier d'avoir apprécié le contexte pittoresque et oppressant, les personnages déconcertants et lunatiques, un style léché et une plume plaisante, je ne peux pourtant pas prétendre à une totale compréhension... Peut-être était-ce voulu par l'auteur, ou non.

Quoiqu'il en soit, ma lecture fût agréable, bien que jalonnée de questionnements qui n'ont hélas pas trouvé de réponses.





《J'ai rencontré Mathilda au milieu d'un cauchemar. Je n'aurais pas pu la rencontrer ailleurs.》





[Avant de lire cette chronique, je vous conseille de découvrir le résumé du livre sur sa page info ;-)]





Un intrigant huis-clos à l'atmosphère particulière, virant au fil du roman en immersion presque malsaine, à tout le moins véritablement déroutante.



"J'ai eu l'impression de pénétrer dans les locaux d'une secte, une famille à la Charles Manson."



Ce livre se divise en quatre parties que l'on pourrait décliner comme suit :



1- L'entrée en matière du récit, racontée par Léon, le narrateur principal, m'a laissée perplexe.

Nous y est présenté les personnages, en tout les cas vu par ce dernier et l'on comprend très vite que la tournure de l'histoire s'oriente sur l'aspect psychologique de nos protagonistes.



"Il exhibait son trophée sous une lumière changeante : on avait à faire à une nymphe insaisissable, protéiforme, qui tenait d'Aphrodite, Elvire, Mata Hari, Charlotte Corday, "sainte et putain à la fois"... le poète mitraillait de tels poncifs qu'il était impossible de savoir à quoi ressemblait son modèle pour de vrai (...)."



2- On démarre cette seconde partie sur les confidences de Joseph Rivière, écrivain méconnu et misanthrope qui accueille Léon dans son antre : une sorte de plein-pied construit dans une cuvette entourée de la jungle de l'île d'Odessa, ce bâtiment aux larges baies vitrées renvoie immédiatement le lecteur au titre du roman pour les raisons que l'on devine.



"Le gouffre m'est devenu trop familier. Il faudrait un trou plongeant au-delà de l'enfer pour me faire ressentir un début de vertige."



Avant la fin de ce deuxième fragment, l'on revient sur Léon et sur la compréhension qu'il a sur ce que vient de lui relater son hôte.



"Mentalement, tandis que la voiture s'enfonçait dans la jungle, je réorganisais tout autour de cette accroche : la ruine, une plongée sans retour dans le délabrement d'une gloire passée. Un has-been schizophrène. Un monstre de foire."



3- Ici, le livre prend un ton différent et l'on commence à se poser de plus en plus de questions, notamment quant à la santé mentale du couple qui paraît si peu en osmose. On va entrer dans leur intimité et enfin faire connaissance avec la mystérieuse Mathilda.



"Nous attendons...



- Donc, tu t'appelles Cornelius ?

- Pas du tout, dis-je stupéfait. Non, je m'appelle Léon.

- Je me disais aussi. Cornelius... C'est ce que Joseph m'a dit, mais il se trompe tout le temps. Il n'arrive pas à retentir les prénoms. Enfin, c'est ce qu'il prétend, moi je pense que c'est juste pour s'amuser et réduire les gens à ce qu'ils sont - rien.



Un ange passe."



4- ...et là commence la folie...



"On ne se comprend pas, et le seul rapport qui puisse exister est un rapport de massacre."



Pour être entièrement honnête, je n'ai pas tout compris à cette histoire comme dit plutôt. Mais encore moins pendant cette dernière partie, la plus trouble du roman, et celle qui malheureusement m'a perdue en chemin...



"Le retour au réel serait difficile."





Je pense sincèrement le relire un jour, avec un peu de chance j'y verrais plus clair...



Pour terminer, je reprendrais la phrase qui clôt le résumé sur la 4ème de couv :

《Le langage implacable et virtuose de Thomas Krizaniac plonge le lecteur dans un jeu cérébral pernicieux, une machination tropicale dont toute issue est illusoire.》
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Le pyromane

Je n'attendais pas grand chose de ce roman, et au final je n'ai pas eu grand chose. Il se lit très vite, sans doute trop vite. Il ne m'a fallut qu'à peine deux heures hier soir pour le lire dans son intégralité. Le style est sympa mais tout est trop rapidement survolé, et les réactions des personnages, sont assez particulières.



je ne me suis pas ennuyé, mais ce roman ne m'a pas passionné pour autant, j'aurais aimer que l'auteur approfondisse un peu plus les sujets qu'il nous promettait. Un petit 3/5, distrayant, mais sans plus.



Merci encore une fois à Babelio pour nous permettre de tester des livres qu'on ne tenterais pas autrement. Merci également aux éditions L'âge d'homme pour la qualité de l'édition. Rien à redire que ce soit sur le papier, la couverture ou même la reliure.
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Le pyromane

Roman dont le thème principal est la folie. Un homme qui se consume de l'intérieur. On voit la progression jusqu'à l'apothéose finale. Sombre à souhait, mais très bien écrit pour premier roman. Les personnes qui apprécient les romans de Thomas Gunzig ou Agota Kristof pourraient bien apprécier "Le pyromane" de Thomas Kryzaniac.
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Vivarium

Le roman s’ouvre sur un long portrait de l’écrivain Joseph Rivière, décrit du point de vue d’un petit littérateur, Léon, qui fut de loin en loin son admirateur, après la lecture de son premier roman, jusqu’à prendre de plus en plus de recul. Rivière est en effet un écrivain misanthrope, à la fois pur produit de sa génération et comme perdu dans le monde d’aujourd’hui, comme s’il dépareillait forcément dans le décor. On assiste, assez navrés, au lent égarement de ce gars qui aurait pu avoir du talent, on le voit rongé par l’indignation et, surtout, par le ressentiment, au point de finir comme ces polémistes qu’on écoute en diagonale et qui sont suivis par quelques amateurs, pas forcément plus équilibrés non plus. Toujours est-il qu’il y a chez Joseph Rivière quelque chose qui cloche ; on le sent même si on ne sait pas bien pourquoi. Alors quand le narrateur apprend que ce même Rivière file le parfait amour avec une jeune femme dans une île des Caraïbes, forcément, il s’étonne. Rien dans les lettres de l’écrivain ne lui permet de mieux cerner Mathilda et, curieux de découvrir à quoi ressemble la femme qui a réussi à supporter (dompter ?) Rivière, il accepte leur invitation et part pour Odessa, une île repliée sur elle-même, loin de tout.



Mais si tout se passait comme prévu, nous ne serions pas dans un roman. Lorsque Léon rencontre Rivière à son arrivée, il sent que quelque chose ne va pas. Celui évite le sujet Mathilda, le loge chez Lazare, et repousse sans arrêt le moment de la rencontre. Léon, qui espérait recueillir des confidences de la compagne, pour satisfaire sa curiosité et préparer un documentaire sur l’étrange Rivière (n’est-il pas sûr de faire le buzz avec un tel personnage ?) ne sait quoi en penser. L’île qui enveloppe le tout de ses brumes a comme suspendu le temps. C’est alors que le jeu commence.



Car Thomas Kryzaniac se joue de ses pauvres lecteurs. Les révélations tombent, de celles qui vous font reconsidérer toute l’histoire… jusqu’à menacer notre perception du réel. Joseph Rivière serait-il fou ? Ou bien Mathilda ? Et ne serait-ce pas finalement le narrateur, par lequel nous percevons tout, qui nous aurait déformé toute l’histoire… ? Finalement, enfermés dans la grande maison aux larges vitres donnant sur la jungle, comme prisonniers d’un vivarium inversé, les personnages perdent pied – avec le monde extérieur, avec eux-mêmes et enfin avec leurs repères de pensée. La description de l’île et de ses atmosphères changeantes, loin du cliché de la chaleur accueillante des Caraïbes, permet de sentir, intuitivement, et de refléter les états d’esprit desdits personnages.



Tout cela pour servir une intense réflexion sur le langage et la vacuité. L’incompréhension entre Rivière et son non-disciple, entre ce non-disciple et tous ses interlocuteurs, le vide qui s’installe au cœur même des mots que l’on prononce, est un thème qui court, souterrainement, dans tout le roman, et dont on ne nous donne les clés qu’à la fin du roman.
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Vivarium

Un coulis de clichés déguisé en grand livre malade
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Le pyromane

Je voulais tout d'abord remercier la masse critique Babelio ainsi que les éditions l'Âge d'Homme pour l'envoi de ce livre.



Alors que dire ?



Au niveau de l'écriture, je dois dire que je l'ai trouvée plutôt agréable et bien tournée. Cependant, j'ai eu du mal à adhérer à la mise en page qui fait très pavé, avec des paragraphes qui font parfois jusqu'à 2 pages 1/2 (par exemple) ! Et ça, pour moi, c'est quelque chose de rédhibitoire. Je n'aime pas quand ce n'est pas assez aéré visuellement et cela me donne moins envie de lire le livre en question.



L'histoire (raconté à la première personne du singulier) commence dans le monde et l'ambiance un peu glauques d'un petit garçon qui vit le long d'une route où les chats se font plus que régulièrement écraser par les camions qui circulent. Sur un commentaire désabusé de son père, le jeune garçon (dont nous ne connaissons pas le prénom) décide de tenir un journal de ces chats décédés, pour qu'il en reste une trace. Mais bien vite, il tombe dans un délire paranoïaque de persécution... jusqu'à un certain évènement qui va tout changer, ou presque...



On passe en suite au chapitre deux, même si on ne sait combien d'années ont passé, on comprend très vite que ce jeune garçon est maintenant adulte, qu'il vit seul, qu'il ne sort presque jamais, qu'il ne travaille pas... et qu'il est loin d'être stable psychologiquement !



En effet, il pense être "possédé" par le feu. Du coup, il s'est débarrassé de tout ce qui pourrait représenter un combustible : papiers, rideaux, livres, meubles en bois... Il ne lui reste que son lit, une couverture, un peu de vaisselle, une cage...

Il ne mange pas beaucoup, n'a aucune vie sociale et ne dort presque pas, persuadé que depuis la dernière fois qu'il est allé vérifié, les boutons de la gazinière auront bougé pour libérer le gaz mortel... Malgré lui, sa mémoire refuse se fixer les images et, de toute façon, même s'il s'en souvient, il pense que tout n'est qu'illusion !

Il ne sort quasiment jamais plus de 10 minutes de chez lui et, à chaque fois qu'il rentre, il est persuadé de voir son immeuble en flammes...



Mais un jour un homme fait son apparition : Mr Reuner, son nouveau voisin du dessus. Mr Reuner est bizarre : il peint des tableaux horribles, écoute à fort volume une musique peu agréable, boit comme un trou et, surtout ô danger ! il fume le cigare comme un pompier. Sans oublier ses discours bizarres... Il n'en faut pas plus pour que notre anti-héros tente à la fois de l'éviter et aussi de s'en faire un allié pour combattre le Feu...





Il y a très peu de dialogues, vu que le personnage n'a aucune vie sociale, mais quand il y en a, ils sont très longs et pas toujours facile à comprendre.

Durant ces dialogues, j'ai parfois eu l'impression de me retrouver dans American Psycho de Bret Easton Ellis parce que ces conversations n'ont parfois ni queue ni tête jusqu'à nous donner l'impression que c'est notre narrateur le plus stable psychologiquement et le plus lucide !



De même il n'y a, sommes toutes, quasi pas d'action et nous sommes presque toujours dans la tête de notre homme qui psychote sur le feu et/ou sur son voisin du dessus...



Concernant la fin, je dois avouer qu'elle m'a un peu surprise. Je m'attendais à ce qu'il se passe quelque chose, mais pas ça.







Pour résumé, je ne vais pas dire que je n'ai pas aimé ce livre mais que, à part à la fin, je m'y suis plutôt ennuyée, malgré une écriture agréable. Là où le bas blesse, c'est que ce l'histoire manque cruellement d'action ! Néanmoins, je pense que c'est un ouvrage dont je me souviendrai pendant longtemps.
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Vivarium

Tout d'abord, un grand merci à Babelio de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage par l'intermédiaire de son opération "Masse critique". C'est déjà enthousiasmant de recevoir un livre inconnu dans sa boite aux lettres, encore plus excitant d'en devenir un des critiques.



Odessa, une île perdue au milieu de la mer des Caraïbes, un écrivain parisien Joseph Rivière est venu s'y réfugier en compagnie de la jeune Mathilda. Sous quel prétexte ? Besoin d'inspiration, fuite face à une menace imprécise...

Léon, critique intermittent qui a suivi autrefois la vie littéraire de Rivière est invité à rejoindre le couple et va tenter un reportage.

Mais dans l'atmosphère poisseuse de l'île, la misanthropie maladive de Rivière s'est-elle transformée en folie ? Mathilda est-elle atteinte d'un mal incurable comme le prétend l'écrivain ? Pourquoi cette femme intelligente, vive s'est-elle attachée à cet homme aigri ? Par admiration, pitié ?

Léon est désormais observateur et observé au fond d'un puits volcanique dans la maison vivarium de ce couple improbable.



L'écriture envoutante de Thomas Kryzaniak nous captive et nous enchaine à cette "inquiétante étrangeté" à trois personnages. On songe, tour à tour à Malcom Lowry et à son "Under the volcano" parfois à "Hygiène de l'assassin" d'Amélie Nothomb, aux romans fantastiques d'Ira Levin...

C'est dire si le roman de ce jeune auteur réussit à nous intriguer et à nous entrainer dans les méandres morbides d'Odessa et de ces troublants personnages.
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Vivarium

Il faut croire que la grande littérature se présente le plus souvent sous couverture sobre - de préférence blanche (la Blanche de Gallimard, qui n'est pas blanche, celle des éditions de Minuit, de chez POL, le jaune de Verdier, pour n'en citer que quelques-unes) - mais salissante ; c'est le cas avec ce nouveau livre de Thomas Kryzaniac. Après deux semaines à transporter Vivarium pour me permettre de terminer sa lecture au plus vite, ce livre est dans un état déplorable, taché, usé, couvert de traces dont je ne m'explique pas toujours l'origine ; mais c'est aussi le signe d'un livre aimé et parcouru avec un grand intérêt.



Sans dévoiler l'histoire, on pourra signaler sa haute qualité littéraire, son inquiétante étrangeté, son goût pour le fantastique (on pense parfois au Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde), et une touche surréaliste. D'ailleurs, il arrive que les lectures évoquent des musiques (pour le coup c'était surtout Personal Monster des Legendary Pink Dots) ou des peintures ; Vivarium m'a immédiatement plongé dans l'atmosphère de La Forêt de Max Ernst, où les troncs forment un mystérieux barrage, un angoissant mirage, comme une hallucinante et instable construction. Et c'est bien là l'effet que produit la lecture de Vivarium : on glisse sans cesse dans la forêt des âmes, dans une nature toute dissonante et angoissante. Il y a un malaise constant à suivre ce jeune journaliste en mal d'histoires, cet écrivain misanthrope, et sa jeune compagne dont le rôle est souvent changeant ; mais il y a aussi une fascination à suivre leurs comportements sur une île où tout semble s'inverser : ce n'est plus l'homme qui regarde la nature, mais la nature qui regarde l'homme, et elle le pétrifie, telle Méduse.



Exigeant que le lecteur sorte du confort de son fauteuil pour s'engager dans l'inconnu, Vivarium est l'un des grands romans de cette rentrée littéraire 2015.

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Le pyromane

Vous dire que le roman de Thomas Kryzaniac tourne autour du feu... serait un peu facile ! Mais contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas de déclenchements volontaires d'incendie dont il est ici question.



A l'image de son héros, le récit est hanté par la menace du feu, menace incessamment imminente, mais qui ne se matérialise jamais. Menace obsessionnelle, donc, qui peu à peu colonise la moindre pensée du narrateur, se traduit même par des symptômes physiques, envahit chaque seconde d'un quotidien organisé autour de ce fantasme, de ce monstre que représente pour lui le risque d'incendie.



Il n'a pas toujours été atteint de ce trouble. Enfant, sa marotte, c'était plutôt la rubrique des chats écrasés. Non pas celle des quotidiens de son petit village d'Alsace coupé par une unique route parcourue, les jours de pluie, par de gigantesques camions allemands. Il s'intéressait en effet aux chats écrasés au sens propre, et avait créé sa propre encyclopédie sur le sujet, dans laquelle il consignait soigneusement tous les cas de morts félines à déplorer suite, notamment, au passage des poids lourds teutons. L'idée était de rendre ainsi un secret -puisqu'il était l'unique lecteur de cette littérature nécrologique- mais nécessaire hommage à ces victimes auxquelles le reste du monde semblait totalement indifférent.



Quelques années plus tard, ayant laissé derrière lui le foyer familial et son étrange lubie, notre héros n'est donc pas pour autant tiré d'affaire...



"Le pyromane" peut susciter un certain malaise, le caractère absurde de l'intrigue, l'humour -noir- de Thomas Kryzaniac se mêlant au fort sentiment d'angoisse qui émane du comportement compulsif du personnage principal. Ce dernier étant le narrateur, le lecteur a du mal à prendre du recul vis-à-vis de son obsession, de sa démence. Le monde qui l'entoure, passé au filtre de son esprit malade, restitué au fil de ses pensées décalées, semble à peine réel, recouvert d'une opacité qui altère sa perception et nourrit sa phobie. Même les quelques personnes -et elles sont rares- avec lesquelles il entre en contact font figure d'individus étranges, vaguement dangereux, en proie eux aussi à d’inquiétants délires...



Un premier roman original, prenant, l'auteur nous entraînant avec talent dans son ambiance glauque et surréaliste.
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Vivarium

Tout d’abord je tiens à dire que je n’ai pas tout à fait compris ce livre. Malgré ça j’ai passé un très bon moment et j’ai apprécié la lecture.

On rencontre Léon, un jeune admirateur, qui est invité par l’écrivain Joseph Rivière. Au début de ce roman Léon raconte qu’il admirait l’écrivain mais qu’au fur et à mesure le comportement de Rivière à fini par le faire s’éloigner.

Mais lorsque Rivière l’invite pour rencontrer sa compagne Mathilda, Léon ne refuse pas et va donc rejoindre le couple sur une île des Caraïbes et ainsi en profiter pour écrire un article ou réaliser un long métrage sur l’écrivain. Quand Léon arrive, Rivière évite le sujet Mathilda. Pourquoi ?

On se pose sans arrête des questions sur nos 3 personnages. L’auteur ne répond pas vraiment aux questions car il nous embrouille plus qu’autre chose.

Je pense relire ce roman une fois mes examens fini afin de comprendre un peu plus l’histoire et en faire une meilleure critique :)
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Le pyromane

Donc, au delà de la surprise, pas grand chose malgré tout ! Peut être m'a-t-il manqué le troisième œil du chat de la couverture pour pénétrer un univers où, ne me reconnaissant pas, j'ai voulu me chercher mais où je ne me suis pas trouvé !
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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