Des fois, les passagers [ du train ] nous traitaient bien, d'autres fois ils étaient mauvais comme la peste. Mais la plupart du temps, ils faisaient autant attention à nous qu'au papier mural. On remplissait leurs verres, on leur apportait leur journal, on faisait leur lit, tout ça, mais sans qu'ils remarquent jamais qu'on était là. Sauf que le papier mural , il a des yeux.