(...) tout ça s'est mélangé dans le crâne de Gaspard qui a fini au coin du feu, le corps amorphe mais l'âme dansante comme un derviche, confus, silencieux et souriant. Ce nouvel univers totalement inconnu lui inspirait pourtant une sensation étrange qu'il n'avait jamais éprouvée, la sensation d'être rentré dans son pays. ( "Le Camp des autres", Alma éditeur, 2017, p. 70)