Quand Nicolas Sarkozy était président, il chargea les professeurs Stiglitz, Sen et Fitoussi d'étudier les alternatives au PIB ; l'une des raisons de son enthousiasme était sûrement que les français passent la plupart de leur temps à ne pas travailler, ce qui diminue le PIB du pays. La France avait des chances de faire meilleure figure avec des indices autres.