Après ma bataille ridicule contre les termitières, j’étais couvert de sable rouge. J’avais l’air d’un golem de sang, d’un enfant qui s’est roulé par terre (un gamin de près de deux mètres de haut et un de large aux épaules, c’est-à-dire), d’un cadavre mahousse enterré dans le bush et tout juste sorti de sa tombe.
L’air d’un barjo, en un mot.