Il a écrit quatre poèmes, un par saison, qu’il a fait imprimer et distribuer à l’église avant le concert pour orienter l’écoute du public, le pousser à imaginer par la musique, comme dans un rêve éveillé. C’est un petit malin, un imposteur. Il contamine la pureté de la musique par ses subterfuges de gamin.