Tobias Schalken

Eminemment mystérieux, Balthazar dégage une poésie persistante, subtilement distillée.
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Jeu de piste sans paroles, cérébral et ouvert à la fois, le récit passe, tour à tour, par des séquences de vignettes qui décomposent le mouvement et par des pleines pages qui tiennent du tableau quasi surréaliste.
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Balthazar, bazar beaux arts, bas art bizarre, un peu de tout ça et inversement, où domine la magie de la création, un savoir-faire exceptionnel et une appréhension rare des possibilités de la bande dessinée.
Lien : http://www.du9.org/chronique..