Et je ne sais ce que je crains le plus. Que ses actes soient effectivement dus à quelque chose dont moi, je serais l’origine. Des frustrations, des traumatismes, que sais-je encore? Ou alors que je sois entièrement étrangère à tout cela. Que rien de ce que je lui ai apporté ne l’ait arrêté ou même freiné.