On gêne quand le sourire de celle qui nous donne tout pâlit devant nos ombres. On gêne quand les plus beaux moments de la vie deviennent douloureux. On gêne lorsqu’on n’est pas assez heureux et qu’une petite fille devrait rire aux éclats. On gêne quand on se bat contre soi-même, contre les autres, lorsque se tenir debout est une lutte.